Jean RINCO
. une jeunesse caudéranaise dans une famille sportive tournée vers le Médoc :
Jean Rinco est né le 17 mars 1930 à Caudéran. Sa mère y a tenu le restaurant de la Poste. Le père, André Rinco, a été international militaire de rugby à XV, joueur du Sport Athlétique Bordelais, c’était un « grand et fort pilier », qui aimait le vélo au point d’aller assister au passage du Tour de France dans le Tourmalet. Les Rinco forment une famille sportive : l’oncle Albert, qui était crossman, a terminé 2ème d’un cross des 6 Nations à Paris, derrière Jean Bouin. Ces deux athlètes sont morts au champ d’honneur (1914-1918).
. changement d’orientation sportive et débuts dans le vélo :
Un article de la « Nouvelle République » - d’il y a au moins 60 ans – nous raconte l’histoire de « Jean le blond » (Pierre, son frère était brun), jeune joueur de football au Haillan qui fréquentait l’atelier de cycles de M. Robert où la jeunesse se retrouvait souvent le soir pour y admirer les vedettes de l’époque : Robert Desbats et Kléber Demanes, entre autres.
C’est là que Jean Rinco a le sentiment qu’il peut « en faire autant ». Ce pari le met sur un vélo, « souvenir du certif’ », avec lequel il multiplie les randonnées à travers le Médoc.
Ses vrais débuts se font à la FSGT et, à 17 ans et demi, emmené à Angoulême pour disputer une course sur le circuit des Remparts, où il y a des pavés et où les autres cassent leurs roues…. Pour la première fois, il gagne !
Ensuite, les débuts à la FFC se font sous les couleurs de l’ASPTT, club réputé à l’époque des Bramard-Latorre-Taris… La première année, il ne gagne aucune course, mais il termine 18 fois « second ». La deuxième année , il collectionne les victoires et, en fin de saison 1949, il « monte » en 1ère catégorie.
Le déclic s’est produit après le Grand prix des Lionceaux, qui est une sorte de revanche du « 1er Pas Dunlop », que Jean Rinco n’a pas couru, car il avait passé l’âge. L’arrivée se dispute en haut de la côte de Monrepos, Jean se souvient : « René Latorre part, un Béglais contre, j’y vais et… je fais 2 sur la ligne… mais, le lendemain, je gagne à Latresne puis le Prix de la St. Jean à Bazas… j’étais repéré ! »
. les frères Rinco :
Jean Rinco, de deux ans le cadet de son frère, a déjà bien progressé dans le peloton des coureurs, quand Pierre Rinco prend sa première licence en 1950 dans le même club, l’ASPTT de Bordeaux. Brun et costaud, le frère aîné des Rinco est un joueur de rugby, un troisième ligne. « A la suite d’une blessure à l’épaule » (G. Descoubes) et, aussi, « parce qu’il en avait marre d’en prendre plein la gueule pour pas un rond, alors que, moi, je gagnais de l’argent », selon J. Rinco, il se lance sur les traces de son frère cadet. Et, en un peu plus d’un an, il parvient en 1ère catégorie.
Cette année-là, en 1951, le destin réunit les trois premiers de la course Bordeaux-Arcachon. Partis dès le départ, Gérard Ferrage, Pierre et Jean Rinco passent la ligne d’arrivée 1h 04’ 19’’ et 1/5 plus tard. Le vainqueur G. Ferrage va détenir quelque temps le nouveau record de l’épreuve avec une moyenne de 45,770 km/h (contesté par la suite, lorsque les mesures font apparaître 48,290 km entre le départ du carrefour de l’Alouette et l’arrivée, jugée sur le boulevard Deganne, ce qui ramène la moyenne à 45,048 km/h). Leur aventure les a fait qualifier de « laboureurs de la pédale ». Et, c’est leur futur beau-frère, G. Ferrage (venu du VC Levallois au SAB) qui bat les frères au sprint, Pierre et Jean dans cet ordre. Désormais, les deux frères se déplacent ensemble, « partout en voiture comme des pros » se souvient Jean Rinco.
En 1952, équipés par les cycles Peugeot, chez celui qui est surnommé « le roi David », cours Pasteur à Bordeaux, ils partagent les succès. En mai 1952, dans le Grand Prix Peugeot qui se dispute en 3 étapes sur le parcours Bordeaux-Dax-Mont-de-Marsan-Bordeaux (remporté au final par Guibert des Cyclistes Girondins), ils terminent la première étape (Bordeaux-Dax) aux deux premières places, Pierre devançant Jean.
Au championnat de Guyenne des sociétés sur la route, ils font partie de l’équipe du VC Lion (avec Bacquey, Guiral et Sosa) qui prend la deuxième place. Aux succès de Pierre Rinco dans le G. P. de la St. Médard à Mont-de-Marsan ou à Brocas-les-Forges correspondent les victoires de Jean dans Bordeaux-Rochefort et Angoulême-Rochefort.
Cependant, un troisième coureur s’est rapproché du couple des frères, il s’agit de Guy Bacquey, un camarade de club avec lequel Pierre Rinco partage la victoire à Brocas-les-Forges. Aujourd’hui, on sent Jean irrité par cette nouvelle présence aux côtés de son frère. Il se remémore une échappée de Pierre Rinco en compagnie de G. Bacquey dans le « Circuit des grands vins de la Gironde », pendant 200 km pour, finalement être rattrapés à Latresne… Il s’agit alors de courses où les « pros » sont présents et qui se nomment : Guy Lapébie,Idée, Guiguet, Zaaf…
. les frères aux Girondins de Bordeaux (1953-1956) :
Avec l’équipe des Girondins de Bordeaux, Pierre et Jean vont connaître leur meilleure réussite, dans ce cyclisme qui n’est plus seulement individuel mais course par équipe : le championnat des sociétés sur route.
En 1954, les Girondins avec une équipe composée par Augustin, Gonzalès, les frères Rinco et J. Sabathier remportent le championnat de Guyenne devant l’ASPTT (les frères Duprè, Dihars, Pagès et Tabaste), à Bayonne le 31 juillet. L’article qui relate les faits (non signé) énonce clairement : « on peut hardiment affirmer que celles (les équipes) qui en ont affronté et vaincu les difficultés, ont fait la preuve de leur valeur et se sont montrées dignes de représenter notre région à l’épreuve capitale ». En septembre, pour la XXVIème fête fédérale, à Rouen, les Girondins (où Merino a remplacé Augustin) finissent 2ème malgré le choix ( !) du pignon fixe et plusieurs crevaisons.
Cependant, « avec mon frère et R. Cruzin, toujours en voiture », ils ont parcouru les Charentes, d’où émerge encore pour Jean Rinco la silhouette du « grand Trochut ».
En 1953, Jean gagne pour la première fois le G.P. de Caudéran, mais aussi, en Charente à Loubert-Roumazeilles devant l’ancien champion du monde des amateurs, Henri Aubry, et à Angoulême le G.P. de l’Epicerie.
En 1954, Pierre – deux ans après son frère – gagne Bordeaux-Rochefort (2. Phelippeau 3. R. Darrigade) et le G.P. de Cézac (2. Bernaleau 3. Merino). Jean renouvelle son succès de l’année passée à Caudéran (2. Tillard 3. Jouault), puis il gagne le circuit de Nersac (2. Phelippeau 3. Urbaniak) et il devance son frère pour le Prix Dislima et Potot à Andernos.
Sélectionné par Julien Moineau, il est dans l’équipe du sud-ouest pour la « Route de France » avec J. Vivensang (2ème au final), C. Colomina, R. Cazala, A. Sastres, G. Faget et R. Babin. Mais, il abandonne lors de la 3 ème étape entre Lorient et Bressuire.
L’année 1955 voit les deux frangins continuer séparément : Pierre reste aux Girondins, pendant que Jean retourne à Caudéran, où il remporte trois belles victoires : le G. P. de la Braderie de Libourne, le G.P. de La Garde-Montlieu, le G.P. de Salles d’Angles.
. 1956 : Andernos, Dewachter et l’arrêt de P. Rinco :
Après « l’exploit » du coureur italien, Fiorenzo Magni, se présentant au départ d’une étape du Tour d’Italie avec un maillot bleu marine marqué sur la poitrine des cinq lettres : « Nivea », l’idée de « publicité extra-sportive » fait son chemin dans le milieu cycliste, relayée en France par Raphaël Geminiani, encore plus audacieux, puisque promoteur de la marque d’apéritif « St. Raphaël » par l’intermédiaire d’une éventuelle confusion avec son prénom. Dès 1954, le renouveau de la section cycliste du SBUC autour de la personnalité de Guy Lapébie précède l’apparition de publicités pour des marques locales comme celles pour les biscottes Labouchède, les cafés Masset ou la lessive Crio.
A Andernos, fin 1955, Dewachter le « grand tailleur » bordelais annonce la création d’une équipe cycliste associant le nom de sa marque à celle des cycles Stella dans le cadre d’Andernos Sports. L’équipe annoncée se compose des frères Rinco, Cruzin, Merino, Blanc et… Fernand Delort.
Brillante année pour les frères Rinco, mais, aussi, la dernière saison de Pierre, lequel gagne le G.P. de Gémozac en deux étapes, le Prix des vins du Blayais à Cézac, à Podensac, à Martron, à St. Seurin /Isle, à St. Julien-en-Born…
De ses fréquents déplacements en Charente, Jean ramène le bouquet du Grand Huit à Bardenac, mais il gagne aussi à Caudéran, à Morcenx (devant son frère) et le circuit des grands vins du Sauternais à Libourne ( !).
. la fin des années 50 et de nouvelles « missions » à l’US Andernos :
Jean Rinco raconte : « Fernand, il gagnait pas une course… » Alors, le père Delort est venu le voir et il lui a dit : « tu les prends avec toi ! » Et, ainsi « on s’entraînait trois fois par semaine ».
Déjà, en 1956, Fernand avait gagné à Cercoux devant Jean Rinco et Claude Castel. Puis, en 1957, au Prix du Porge, Jean est encore devant Fernand et André Delort. Il gagne aussi le Prix Dewachter à Andernos et à St. Paul de Blaye (les deux fois devant Pascal). Enfin, il est deuxième à Parentis (derrière Darnauguilhem), à Bègles (derrière Domagé), à Saujon (derrière Darodes) et au Pouyalet-Pauillac (derrière Cigano).
En 1958, si Jean Rinco ne gagne que le G.P. de Pessac, ils est très présent régionalement avec 4 places de « second » et une belle 3ème place au Prix René Salomon à Jarnac (derrière Darodes et Pras et devant un certain P. Beuffeuil). Classé aussi à St. Thomas de Conac, au G.P. des vêtements Thierry, à La Rochette, à la Tomate, à Toulouse…
. « Capitaine de route » avec les frères Delort :
En 1959, une première victoire à Pouillon vient clôturer une saison marquée par la deuxième place de l’US Andernos au championnat de Guyenne des sociétés sur route avec les frères Delort, C. Castel et R. De Santi, derrière l’ASPTT Bordeaux.
A Rouillac, c’est Fernand Delort qui gagne et Jean est 3ème et, à Andernos, pour le Prix des commerçants, artisans et ostréiculteurs où André Delort l’emporte, Jean est 4ème. A Nay, Jean « drive » le jeune André qui devance son frère sur la ligne d’arrivée.
En 1961, J. Rinco gagne à La Garde-Montlieu et à Barbezieux où le journal le juge « meilleur tacticien ». Toujours en Charente, il est 3ème à Curac (1. Epaud 2. Suire) et, aussi, à St. Séverin-Chalais (1. Epaud 2. Mettavant)
En 1963, il gagne deux fois à Andernos : le Prix des commerçants et le Prix Dewachter, puis il est deux fois second à Mosnac/Seugne et à Rochefort/mer derrière André Delort.
En 1964, avec ce même André Delort, ils remportent la course des gentlemen au Taillan.
. Bordeaux-Arcachon 1976 :
Le vendredi 5 septembre 2003, le journal « Sud-Ouest » - à la page Bordeaux-Caudéran – annonce « le criterium cycliste (qui) se court ce soir ». Sous le titre : « L ‘ancien champion cycliste a gardé le feu sacré », le journaliste F. Schwartz fait parler Jean Rinco : « J’ai commencé les courses à 17 ans et terminé à 50 comme vétéran ».
En 1976, ce même journal a publié, cette fois, avec le titre : « Une seconde jeunesse pour la course Bordeaux-Arcachon », deux photos et quelques commentaires pour saluer la victoire de Jean Rinco (devant Norbert Bougon, en « vétérans ») dans cette épreuve qu’il avait terminé 3ème, trente-cinq ans aupravant.
L’article avait pourtant commencé ainsi : « On sait que de tout temps à jamais, la course cycliste Bordeaux-Arcachon a constitué un remarquable tremplin pour les jeunes routiers-sprinters ».
. Magudas, automne 2014 :
Dans sa maison au rond-point de Magudas, Jean Rinco, qui a perdu son frère Pierre le 23 juillet et sa sœur Ismée en cette mi-octobre 2014, se remet d’une récente opération du cœur subie à l’hôpital Haut-Lévêque, toujours en compagnie de Josette, major des armées à la retraite et ancien contrôleur des poudres à St. Médard-en-Jalles. Non loin de là, Jean-Luc, le fils, a repris le commerce de son père.
Commencée en 1947, la carrière du coureur cycliste Jean Rinco est exemplaire parce qu’elle relie le monde des coureurs d’avant-guerre (Berton, Demanes, Desbats, Taris…) à celui des années soixante (les frères Delort, Epaud, Gonzalès, Ricou…). Parce qu’il est, encore, question des « frères à vélo », une histoire assez fréquente dans le cyclisme et que Jean Rinco ne peut éviter de revivre, quand il devient le « capitaine de route » d’André et Fernand Delort.
Essai d’un palmarès de Jean Rinco
-
1949 :
1er du Prix du Duc de Caze à Libourne, à Bazas , à Noaillan et à Latresne
-
1950 :
1er à Latresne
-
1951 :
1er du G.P. des vins à Avensan, du Kiosque à Tarbes (échappé avec un certain Rascagnères, il le "perd" dans la dernière côte), 3ème de Bordeaux-Arcachon (1. Ferrage 2. P. Rinco), 3ème du G.P. des Tabacs à Tonneins (1. Lesca)
-
1952 :
1er de Bordeaux-Rochefort, d’Angoulême-Rochefort, du G.P du Kiosque à Tarbes
-
1953 :
1er du Prix de l’Epicerie à Angoulême, à Loubert-Roumazeilles (2. H. Aubry), à Caudéran
-
1954 :
Champion de Guyenne route sociétés avec les Girondins de Bordeaux (P. Rinco, Augustin, J. Sabathier, Gonzalès), 2ème au championnat de France, Le Havre (Merino, P. Rinco, Sabathier, Gonzalès),
1er du circuit de Nersac (2. Phelippeau 3. Urbaniak), du Prix de Caudéran (2. Tillard 3. Jouault), du Prix Dislima et Potot à Andernos (2. P. Rinco),
2ème à Mont-de-Marsan, Prix des vêtements Verdun (1. Colomina…3.P. Rinco), à Chevanceaux (1. Merino …3. Paillier), à Castets-des-Landes (1. R. Darrigade)
5ème à Plaisance-du-Gers (1. Gonzalès 2. Vasquez), 6ème à Portets (1. R. Berton),
6ème de Bordeaux-Rochefort (1. P. Rinco), 8ème GP des fêtes de la Madeleine à Mont-de-Marsan (1. Lafargue 2. Lesca 3. Gonzalès),
10ème au GP Izarra (1. Dolhats 2. Caput 3. Berton)
11ème de Bordeaux-Royan (1. M. Gonzalès 2.S. Perin 3. Merino 4. P. Rinco)
13ème au GP René Salomon Jarnac (1. Dolhats 2. Cigano)
Route de France : abandon 3ème étape( Lorient-Bressuire), équipe du sud-ouest (J. Vivensang, Colomina, Cazala, Sastres, Faget, Babin)
-
1955 :
1er à Lagarde-Montlieu (2. Merino 3. Dihars), à Salles d’Angles (2. Poirier 3. Dihars), au GP de la Braderie à Libourne (2.R. Vivensang 3.Cabalet),
3ème du Prix J. Castagnet (1. Merino 2. Lafargue), du GP Martini-Journée Saintaise (2 étapes)
-
1956 :
- 1er du Grand Huit Bardenac (2. Michenaud 3. JP. Gras 4. Epaud), GP de Caudéran (2. Cabalet 3. Merino 4. Nebut), GP des ouvriers et des commerçants à Morcenx (2. P. Rinco 3. R. Vivensang), du circuit des grands vins à Libourne (122 km en 3h 12’, 2. J. Alvarez 3. Merino 4. C. Campaner)
- 2ème à St. Ciers/Gironde (1. G. Planas…3. Gibanel), à Cercoux (1. F. Delort…3. Castel),
3ème à Gemozac (2 étapes, 1. P. Rinco 2. M. Friou), au Prix de Curac (1. L. Rigon 2. Deloche), à St. Julien-en-Born (1. P. Rinco 2. Albagnac), du Prix Dewachter à andernos (1. Cruzin 2. Domagé)
4ème à St. Thomas de Conac (1.R.Pallu 2. Merlot 3. Fourgeaud)
6ème du GP de Cahors (1. A. Darnauguilhem 2. Merino 3. F. Fernandez)
16ème du GP de la Victoire à Libourne (1. Dihars, 156 km en 4h 5’ 2. J. Alvarez à 1’10’’)
-
1957 :
1er à St. Paul-de-Blaye (2. Pascal 3. G. Doret), au Porge (2. F. Delort 3. A. Delort), au Prix Dewachter à Andernos (2. Pascal 3. Bely),
2ème à Parentis, Prix du Muguet (1. Darnauguilhem …3. Nebut), au GP du CA Bègles (1. Domagé …3. Nebut), à Saujon (1.J. Darodes…3. J. Alvarez), à Pouyalet-Pauillac (1. Cigano…3. Lara)
3ème à St. Bonnet/Gironde (1. R. Fedon 2. Beauvieux)
-
1958 :
1er à Pessac (2. Augée 3. Nebut 4. R. Verdeun)
2ème du GP du Réolais (1. S. Chaumont …3. Pascal), à Reignac-de-Blaye (1.M. Gras…3. Garbay), du GP Castagnet (1. J. Gras… 3. Castel), à Pauillac (1. Castera…3. Castel)
3ème du GP René Salomon Jarnac (1.J. Darodes 2. Pras…4. Beuffeuil)
5ème à Vayres (1. Gavas 2. C. Campaner), à Marmande-activité (1.P. Lara 2. Beauvieux)
6ème à St. Thomas-de-Conac (1. Gavas 2. R. Poirier 3. Pras), GP. de Guyenne des vêtements Thierry (1. Ricou 190 km en 4h 52’ 50’’ 2. Ju. Pineau 3. Deloche)
7ème à La Rochette (1. Ricou 2. M. Bertrand 3. J. Cigano)
11ème de Bordeaux-Rochefort (1. Ricou 2. Gaudin 3. Nebut)
12ème du Prix des vêtements Thierry à Toulouse (1. Lesca 2. Ju. Pineau 3. Nebut)
19ème du Prix de la Tomate à Marmande (1. Lesca 2. Chaumont 3. Gibanel, 9ème 1ère étape)
-
1959 :
1er à Pouillon (2. Audibert 3. M. Bertrand)
2ème au championnat de Guyenne route sociétés avec l’US Andernos (Delort frères, Castel, R. De Santi)
3ème à Rouillac (1. F. Delort 2. Picot)
4ème à Pessac (1. Lesca 2. Jouglin 3. Poutou), du GP des vêtements Thierry à Agen (1. Ben Brahim 2. Jouglin 3. Ju. Pineau), à Andernos, commerçants, artisans et ostréiculteurs (1. A. Delort 2. Platel 3. Bonnecaze)
5ème à Léogeats (1. Peyran 2. Cecchinato 3. F. Delort), à Beaumont-du-Périgord (1. Frare)
7ème à Surgères (1. Vallée 2. F. Delort 3. De Santi)
16ème à Moissac (1. R. Verdeun 2. Iacoponi 3. A. Delort)
-
1960 :
1er à Pouillon (2. R. Desbats 3. R. Verdeun)
3ème à Périgueux-St. Georges (1. D. Walryck 2.Deloche), au GP. du CA Bègles (1. R. Ferreira 2.Cecchinato), à Celles (1. De Santi 2. J. Vivier)
5ème à Chateauneuf/Charente (1. J. Gras 2. Mesnard)
-
1961 :
1er à Lagarde-Montlieu (2. Lebeaud 3. Friou), à Barbezieux (2. Delaunay 3. Deloche 4. Paillier)
3ème à Curac (1. Epaud 2.Suire), à Talence (50° des P&T) (1. Nebut 2. Castera), à St. Severin-Chalais (1. Epaud 2. Metavent)
-
1962 :
20ème de Bordeaux-Périgueux (1.M. Gonzalès 2.D. Walryck 3. R. Verdeun)
-
1963 :
1er à Andernos, Prix Dewachter (2. Domagé 3. Peyran), au Prix des commerçants à Andernos (2. Laville 3. Lesca),
2ème à Mosnac/Seugne (1. Delaunay … 3. Fournier), à Rochefort/mer (1. A. Delort … 3. Angibaud)
3ème à Montpon/Isle (1 . Vidal 2. Archambaud)
-
1964 :
1er aux Gentlemen - Le Taillan avec André Delort
-
1976 :
1er de Bordeaux-Arcachon en vétérans (2. N. Bougon)
Inscrivez-vous au blog
Soyez prévenu par email des prochaines mises à jour
Rejoignez les 372 autres membres